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Document publié le 21/05/2024 par Quinternaire Editions

La Connaissance du Tout

Où la Théorie du Tout résolue avec l’Art mathématique

Auteur Jean-Claude ALLAMELLE

ISBN 979-10-92239-10-2

Copyright : SM3J1Q5

 

L’invention de l’Art mathématique et sa mise en pratique m’ont permis d’explorer l’ensemble des entités physiques qui constituent le Monde, « l’Edifice Monde », et de révéler leurs vérités scientifiques respectives. L’ensemble de ces révélations constituent la résolution de la fameuse théorie du tout, et donc l’avènement de la Connaissance du Tout. Ou « Connaissancedt ».

Cette Connaissancedt, c’est notre Monde, l’Edifice Monde, mathématiquement décrypté avec l’Art mathématique, digitalement conceptualisé, physiquement expliqué et démontré avec l’i-math (l’intelligence mathématique) sur tableurs Excel de Office 365 ou Calc de la suite Libre Office.

Depuis des décennies, la communauté scientifique s’est attelée à résoudre cette théorie du tout, mais sans résultats jusqu’à cette année 2024. En fait, ce projet fut lancé dans l’Antiquité grecque. Deux raisons à cette absence de résultats.

En premier lieu, la déficience du fondement de la physique de la science, à savoir la symétrie ou principe de conservation.

En second lieu, l’inefficience de la mathématique de la Science, à savoir les équations différentielles.

La Physique de la Science est donc fondée sur le concept de symétrie. Le concept de symétrie se déduit du principe de conservation.

Quelle est l’origine de ce fameux principe de conservation ?

Empédocle (495 avant J-C – 435 avant J-C) est l’initiateur de ce principe de conservation. Il a théorisé ce principe en réponse à la question « Quelle est l’origine des choses ? » que les érudits grecs s’étaient engagés à résoudre afin d’établir la connaissance. En fait, cette question est la formulation initiale de la quête de la Théorie du Tout. Effectivement, selon les érudits grecs, connaître l’origine des choses devait permettre de tout connaître du monde. Afin d’élucider ce questionnement, Empédocle proposa le concept de « conservation ». Il théorisa un principe qui concilie la permanence des substances, (leur conservation) avec le changement perpétuel des apparences des choses au sein de l’Univers. Il stipula que la vérité, c’est-à-dire « la connaissance véritable » est assujettie aux formes simples qui se conservent. Ce qui veut dire qu’une proposition peut être qualifiée de « vérité scientifique » dès lors qu’elle fait état d’éléments qui demeurent inchangés au cours d’un processus de transformation. Empédocle énonça son concept comme suit : « Ce qui nous apparaît comme le commencement ou la fin d’un être n’est qu’une illusion ; en réalité, il n’y a rien que mélange, réunion de plusieurs substances. Les éléments dont toutes les choses sont composées consistent en quatre substances différentes incréées et impérissables. Ces quatre éléments, l’eau, la terre, le feu et l’air, sont donc les principes composant toutes choses.

Empédocle conclut son développement par cet axiome : « Rien ne naît de rien et rien ne retourne à rien. »

Antoine Lavoisier (18ième siècle) reformula l’axiome d’Empédocle de la manière suivante :

« Rien ne se perd et rien ne se crée, tout se transforme » d’Empédocle de la manière suivante :

Pythagore (572 av JC – 482 av JC) réfuta le concept des transformations inchangeables en proposant : « Les choses sont des nombres ». En effet, selon Aristoxène de Tarente, il revint à Pythagore la gloire d’avoir introduit en Grèce les poids et mesures, d’avoir élevé les nombres au-dessus des applications mercantiles et d’en avoir fait le principe de sa philosophie (de sa connaissance). Pythagore fut ainsi le premier à étendre l’étude de l’arithmétique au-delà des besoins du commerce. Poussé par sa passion des mathématiques, il lui vint l’idée de traduire la connaissance en termes mathématiques. Ce faisant, il assimila les figures telles que le carré, le triangle, le cube, la pyramide à des nombres. Son outil de calcul, son « abaque », consistait en amoncellements de cailloux ou en figurations de points. Plus tard, le boulier chinois constitua le perfectionnement de cette abaque primaire.

Des travaux de Pythagore résultèrent cet énoncé : « Toutes les choses sont des nombres ». Il professa donc que les choses ne sont pas des images et des formes, comme l’avaient pensé et enseigné les érudits précédents, mais des nombres. En postulant que les choses sont des nombres, Pythagore “revisita’’ de fait, la logique des transformations qui était censée donner naissance aux choses. Il postula que l’essence de la réalité de la Nature se trouve dans les nombres. Que ces nombres définissent l’ordre du monde et déterminent l’indéfini (apeiron). « Toute chose est une copie des nombres et leur configuration mathématique en est l’essence formelle. L’Un (le Tout) domine tous les chiffres, il en est l’origine. Le pair est illimité et imparfait ; l’impair est limité et parfait. » Ainsi, Pythagore a recherché dans les nombres (dans les mathématiques), la matière et les propriétés des choses. Les choses étaient donc engendrées par les nombres conçus comme éléments réels ; elles étaient définies par les nombres. Sa méthode de comptage rudimentaire, s’il en est, lui permit de créer la fonction mathématique « racine carré ». La racine carrée est un nombre multiplié par lui-même.

Rappelons son fameux théorème : « Dans un triangle rectangle, le carré de l’hypoténuse est égal à la somme des carrés des côtés de l’angle droit. »

Platon (428 av JC – 347 av JC), comme la plupart de ses prédécesseurs érudits et créateurs de connaissance, commença par créer son école : l’Académie à Athènes. Il s’était fixé l’objectif d’expliquer l’apparition de l’homme dans le capharnaüm de la Nature en solutionnant ce questionnement qui était, en fait, une reformulation de la question initiale de l’origine des choses : « Comment et pourquoi ce microcosme bouffi de vanité avait-il pu transcender son animalité première au point d’être parvenu à se hisser au sommet de la pyramide de la Vie, au cœur du macrocosme Univers ? »

Platon était convaincu que sa quête de l’histoire humaine devait avoir pour point de départ l’origine de toutes les origines, c’est-à-dire l’Univers. Il lui fallait donc commencer par décrypter ce monde secret, réceptacle de tous les mondes. Il faut dire que la connaissance grecque de cette époque établissait une équivalence absolue entre le microcosme et le macrocosme, de telle sorte que l’humain, le microcosme, était le reflet en miniature de l’Univers, le macrocosme.

Afin de résoudre sa problématique, Platon se référa aux travaux de Pythagore, de Parménide et d’Empédocle, principalement. « Connaitre, c’est mieux connaitre » se complaisait-il à dire. Pour acquérir ce mieux connaitre, qui devait enrichir la connaissance balbutiante, il décida de mobiliser le raisonnement et la mathématique, méthode dont Parménide et Pythagore furent les initiateurs.

Il théorisa la supériorité de la raison et de la mathématique sur l’expérimentation, en ces termes : « Ce qui permet de retrouver la trace de l’intelligible dans le sensible, ce sont les mathématiques ». En cela, il avait fait sienne l’idée de Parménide selon laquelle les mathématiques constituaient la seule possibilité de développement de l’intelligibilité humaine. Il avait donc fait sienne l’opinion selon laquelle, les expressions de la Nature sont subjectives et trompeuses au point que l’exploration physique des choses (l’expérimentation) ne permettra jamais d’accéder à la vérité scientifique.

En cela, il avait parfaitement raison, car au jour d’aujourd’hui, l’arsenal des accélérateurs linéaires construits à Saclay et à Orsay, ou circulaires comme le synchrotron Saturne de Saclay, celui du CERN à Genève, celui de Serpoukhov en URSS, etc. n’ont pas permis de déterminer la vérité scientifique de l’entité physique Matière.

Effectivement, est-il nécessaire de réduire les noix en farine pour déterminer leur physiologie ? Les accélérateurs pratiquent des collisions de protons qui se percutent à une vitesse proche de celle de la lumière pour les forcer à fusionner ou à exploser ? Mais rien, encore rien, toujours rien.

Entre 358 et 356 av J.-C, soit une dizaine d’années avant sa mort, les travaux de Platon s’étaient conclus par la publication de deux ouvrages : le Timée et le Critias qui traitaient de l’origine de l’Univers, de l’origine de l’Homme et de l’origine de la Société.

A travers ces deux réalisations, Platon pensait pouvoir atteindre un autre objectif : « Faire de l’Athènes antique une cité idéale, à l’opposé de cette ville infernale qu’était devenue la métropole hellénique sous l’emprise des sectes pythagoriciennes qui entretenaient une atmosphère de guerre civile par des menées subversives incessantes. Il aurait voulu façonner une capitale socialement apaisée et une société intellectuellement brillante pour un plein épanouissement de la communauté des humains.

« C’est en contemplant la perfection que manifeste l’Univers en son corps, et surtout en son âme, que l’être humain qui est un Univers en petit, peut atteindre à l’excellence et donc au bonheur. » Platon. Le Timée – Luc Brisson.

La visée de Platon ne concernait pas seulement la population d’Athènes. Sa préoccupation s’étendait au Monde. En effet, il savait bien que tout au long de l’histoire, l’homme s’est comporté en prédateur de l’humain. En exterminateur de sociétés humaines ! Pourquoi ?

Pourquoi tout au long de l’histoire de l’humanité, l’homme s’est-il évertué à cannibaliser l’humain ? Cannibalisme social et sociétal. Cannibalisme culturel. Cannibalisme cultuel. Cannibalisme politique. Cannibalisme économique.

Toutes les peuplades terriennes, sans exception, tous continents confondus, ont eu à subir des affres génocidaires. Des massacres de masse perpétrés par des pharaons, par des envahisseurs, par des conquistadors, par des colonisateurs, par des empereurs, par des tyrans, par des dictateurs, par des révolutionnaires, par des croyants intégristes, par des identitaires sectaires, par des mafieux cupides. D’une manière générale, le poison de la cupidité semble déterminer les actions des hommes. C’est comme une fin en soi.

L’exemple le plus éminent est ce peuple de Judée qui s’est fait « génocider » à répétition. Aujourd’hui, les deux fratries, descendants d’Abraham, de ce peuple martyr, s’affrontent sur fond de cannibalisme cultuel. C’est la guerre des Caïn. Caïn J contre Caïn P, une lutte à mort pour la possession de Jérusalem. Un différent, semble-t-il, à propos d’une interprétation tragique d’un livre commun : la Bible. Cet affrontement ne se justifie pas. Les deux fratries devraient pouvoir se réconcilier et faire nation au sein d’un état unique avec Jérusalem pour capitale.

L’être vivant doit se nourrir pour vivre et pour survivre. Pour vivre et pour survivre, le vivant doit se nourrir de vivants. L’être vivant, animal ou homme, doit tuer pour assouvir sa faim, pour assurer sa survie, la survie de son groupe et de son espèce. Mais au contraire de l’animal qui arrête de chasser dès sa faim assouvie, l’homme continue de tuer, même quand il n’a plus faim. Il tue par passion. Il exécute par plaisir. Il assassine par désir de suprématie. Il extermine par envie de toute-puissance.

Tout au long de l’histoire de l’humanité, les massacreurs, les oppresseurs, les envahisseurs ont été éjectés de cette histoire, les pieds devants. Ils ont été débarqués, soit par la révolte des opprimés, soit par la riposte des envahis, soit par l’action ultime de la Nature, empalés sur le glaive du Temps. A côté de cela, les populations victimes se sont toujours relevées et reconstituées. Le Temps aidant !

Si la prédiction de Platon en faveur d’une rédemption de la société humaine par la grâce de l’omniscience s’avérait juste, alors peut-être serait-il possible d’envisager que l’enseignement de la Connaissancedt à tous les peuples terriens, permette de panser les plaies de l’histoire et des actualités, jusqu’à ambitionner, collectivement, un retour au graal de l’Eden des origines ?

Eratosthène de Cyrène (275-195 av. J.C), alors directeur de la Bibliothèque d’Alexandrie, fit venir Archimède de Syracuse qui venait de créer la fonction Pi (π) : le nombre 3,1415926535.

En s’appuyant sur la définition mathématique du triangle de Pythagore, ils purent établir la première mesure du rayon équatorial de la Terre. Pour ce faire, ils commencèrent par mesurer la distance Syène-Alexandrie à dos de chameau en stade (800 km). Eratosthène et Archimède purent ainsi vérifier et confirmer la proposition de Platon : « Ce qui permet de retrouver la trace de l’intelligible dans le sensible, ce sont les mathématiques ».

Les équipes du CEA ont reproduit récemment l’expérience Eratosthène/Archimède.

Les scientifiques du CEA mirent plusieurs mois pour reproduire l’expérience des Anciens. Ils démontrèrent, à cette occasion que la Science ne dispose pas de méthodes de calculs des paramètres physiques de la Terre, ni ceux des astres en général et du monde (de l’Edifice monde) en particulier. Ce qui met en évidence l’inefficience de la mathématique de la Science.

Que disent ces 2 nombres issus de ces deux mesures analogues, distantes de 2190 ans ?

Parce que les scientifiques contemporains ont réalisé ces mesures avec une méthode identique, nous devons considérer que les mesures Eratosthène/Archimède d’un côté et CEA, de l’autre, sont exactes. La mathématique ne ment pas. En effet, chacune de ces mesures est « juste et précise » par rapport à l’époque où elle fut réalisée. Ce que disent ces 2 nombres à la fois exacts et différents, c’est que le rayon de la Terre ne se « conserve » pas. En effet, la Terre comme tous les autres astres, évolue sur un rythme d’expansion.

Au cours des 2190 années d’intervalle où ces mesures furent effectuées, le rayon de la Terre a évolué au rythme de : 6449-6247/2190 = 0,092237443 km par an, soit 92,23744 mètres par an.

La non-conservation du rayon terrestre induit la non-conservation des distances. Cette non-conservation des distances induit la disqualification des SIG (système d’information géographique) en vigueur. Ces systèmes équivalents dont l’un d’entre eux fait la fierté et la fortune de Google Maps, induisent des erreurs de distances de plus de 1,5° degré de latitude en moyenne et de 1° de longitude en moyenne. Pour mémoire 1 degré de latitude = 111,618 km et 1 degré de longitude = 111,321. Il est urgent d’y remédier.

J’en ferai la démonstration avec des échantillons de données ITRF diffusées à intervalle de 4 ans depuis 1990.

Effectivement, ces données exceptionnelles, collectées par les satellites des réseaux Doris (français), GPS (américain), GLONASS (russe), sont diffusées régulièrement par les organisations géodésiques. 

A partir de ces données dites ITRF, l’intelligence mathématique (imath), permet de calculer en une minute, le temps d’entrer les données, les rayons équatorial et polaire de la Terre avec la précision du millimètre. Et de montrer les distorsions de distances inter-capitales, inter-ports de commerce, par exemple, par rapport à celles proposées par les différents SIG en vigueur.

CQADSG dispose des moyens de calculs pour y remédier et s’entourera des compétences nécessaires pour réaliser ce nouveau SIG dynamique qui intègrera le processus d’évolution de la Terre. A savoir sa dynamique d’expansion.

Aujourd’hui, à partir d’une mesure de rayon, l’i-math permet d’établir l’ensemble des dimensions physiques, dynamiques et historiques d’une planète quelconque ou d’une étoile quelconque.

La science ne sait pas lire les données géodésiques. Elle ne sait pas exploiter ces données avec la mathématique d’usage.

Lorsque la science, par la voix du GIEC, prédit la « montée » des eaux marines à cause du réchauffement climatique qui engendre sa « dilatation ». C’est proprement ahurissant ! Comment les participants à cet organisme, qui sont censés être des physiciens pointus, ignorent-ils que la physique enseigne que l’eau fait partie des quelques éléments qui ne se « dilatent pas » sous l’effet de la chaleur ?

La science ne sait pas lire les données géodésiques, même lorsque les résultats sont exprimés en images.

Sur le document iGn (France & Pologne), qui suit, nous avons des flèches de deux couleurs qui signalent les mouvements verticaux des terres émergées, continents et îles. Les flèches rouges indiquent une élévation d’altitude par rapport au niveau de la mer, et les flèches bleues démontrent une baisse d’altitude toujours par rapport au niveau de la mer. Les flèches bleues indiquent plus précisément que les bordures des continents et des îles (les marges continentales) s’enfoncent dans les profondeurs. Ce mouvement de plongée est dû à l’expansion des fonds marins qui est la traduction physique de l’expansion de la Terre. Les plaques océaniques repoussent les continents de part et d’autre des failles. En se refroidissant, ces plaques s’enfoncent en entrainant les bordures continentales. Les longueurs des flèches précisent les vitesses de ces mouvements verticaux. CQADSG produira des documents, non pas avec des flèches, mais avec des nombres précis en millimètres.

Le document suivant de la NASA, montre, avec les données géodésiques GPS, les mouvements des continents dans la dynamique d’expansion de la Terre. Les flèches indiquant, à la fois, les directions et les vitesses de déplacement des continents et des îles.

Les écrits de Platon parvinrent quasi intégralement dans l’Occident moyenâgeux.

Dans un premier temps, il y eut les traductions latines de Cicéron au 1ier siècle av. J. –C., puis de celles de Chalcidius au 3ième siècle apr. J –C. Ces documents firent donc autorité de l’Antiquité jusqu’au Moyen âge où les textes originaux Grecs furent redécouverts.

Les nouveaux érudits se sont inspirés des préceptes de Platon.

Galilée (1564-1642) a dit ceci : « La philosophie (la connaissance) est écrite dans le vaste livre qui, constamment, se tient ouvert devant nos yeux – je veux dire l’Univers – et on ne peut le comprendre si d’abord on n’apprend pas à connaître la langue et les caractères dans lesquels il est écrit. Or il est écrit en langue mathématique, et ses caractères sont les triangles, les cercles, et autres figures géométriques sans lesquelles il est humainement impossible d’en comprendre un mot, sans lesquels on erre vainement en un labyrinthe obscur. »

Aujourd’hui, la Connaissancedt permet de préciser l’injonction de Galilée. Je dirai :  l’Art mathématique est la langue mathématique de l’Edifice monde et la sphère en est son caractère. Ce qu’il faut entendre par caractère de la sphère, ce sont les algorithmes de mesure des paramètres d’une sphère, principalement les fonctions Pi et Racine. Rappelons que c’est à partir de ces 2 fonctions que Eratosthène et Archimède parvinrent à déterminer le rayon de la sphère Terre.

Effectivement, l’Art mathématique a permis de mettre en évidence qu’au sein de l’Edifice monde toute entité physique est « sphère ». C’est le cas de l’étoile, de la planète, du proton, de l’électron, de la molécule, du rayonnement électromagnétique (le rayonnement thermo-électromagnétique). « Les ondes électromagnétiques se propagent sous la forme de sphères et se déplacent à la vitesse de la lumière » CEA.

L’espace-ciel est une sphère. L’espace pour la science et le ciel pour la religion, sont une seule et même entité physique. D’où le terme espace-ciel en Connaissancedt. L’effet de voûte céleste nous est donné par la partie de la surface de sphère, le plafond en direction duquel porte notre regard de terrien.

Isaac Newton (1642-1727), réalisa sa théorie de la Gravitation, « la gravitation universelle » après avoir inventé la mathématique des équations différentielles.

William Thomson – Lord Kelvin 1824-1907 a dit ceci : « Si vous mesurez ce que vous étudiez et l’exprimer en nombre, vous savez quelque chose à son sujet, mais si vous ne savez pas le faire, votre connaissance ne reste qu’approximative, maigre et insuffisante. » Lord Kelvin est à l’origine de la découverte de la Température Thermodynamique « 0 K ». C’est à travers cette échelle de température que la Nature s’exprime. Autrement dit Lord Kelvin a découvert le lexique du langage de la Nature : des nombres en unité K. Pour simplifier, parlons de « langage K ».

Albert Einstein (1879-1955), dans son livre testament « Comment je vois le monde », écrit ceci : « D’après notre recherche expérimentale jusqu’à ce jour, nous avons le droit d’être persuadés que la Nature représente ce que nous pouvons imaginer en mathématique comme le plus simple. Je suis convaincu que la construction exclusivement mathématique nous permet de trouver les concepts et les principes les reliant entre eux. Ils nous donnent la possibilité de comprendre les phénomènes naturels. Les concepts mathématiques utilisables peuvent être suggérés par l’expérience, mais jamais, en aucun cas, déduits. L’expérience s’impose naturellement, comme unique critère d’utilisation d’une construction mathématique pour la physique. Mais le principe fondamentalement créateur se trouve dans la mathématique. Par conséquent, en un certain sens, j’estime vrai et possible pour la pensée pure d’appréhender la réalité comme le révéraient les Anciens. Pour justifier cette confiance, je suis contraint d’utiliser des concepts mathématiques … Pour notre recherche, il s’avère capital que toutes ces formes et leurs relations par des lois, s’obtiennent d’après le principe des recherches mathématiques les plus simples et de leurs liaisons. Si nous pouvons limiter les genres de champs simples existants mathématiquement et les équations simples possibles entre eux, alors le théoricien peut espérer appréhender le réel en sa profondeur. »

Dans cet écrit, Albert Einstein reprend, quasiment mot pour mot, le plaidoyer de Platon en la matière. Par ailleurs, son modèle d’Univers est celui de Platon/Aristote, un univers baudruche rempli d’un éther. La science a caractérisé cet éther par le boson de Higgs qui remplirait l’espace d’un liquide plus dense que le plomb et dont la fonction serait d’attribuer masse aux objets stellaires et plus généralement aux objets physiques. Cela n’a jamais été démontré, même avec la mission Planck dont c’était en partie l’objectif. Cette théorie est donc fausse.

Ole Romer (1644-1710) qui travaillait à l’Observatoire royal de Paris, y a déterminé en 1676 que la lumière avait une vitesse finie de 299 792 458 mètres par seconde (le nombre : 299 792 458).

Albert Einstein n’est donc pas parvenu à réaliser cette mathématique simple qu’il ambitionnait. Ses équations réalisées avec la mathématique des équations différentielles sont indéchiffrables, au point qu’à ce jour, nul docteur en physique ou en mathématique n’est parvenu à les résoudre. Ainsi, sa « célèbre formule » E = mC² est inapplicable en physique. C, est une fonction de l’électromagnétisme, et plus précisément, l’une des 2 fonctions de sa propagation. C = 299 792 458 m/s. = 89 875 517 873 681 800 m/s, revient à affirmer que la vitesse d’émission des particules est le carré de C, ce qui est absurde. Rien ne va plus vite que la lumière. De fait l’équation de détermination de l’énergie est : E = 1/2 mV².

A partir du nombre d’Avogadro, Marie Curie est parvenue à définir les quanta de particules émises par la radioactivité naturelle. Avec pour seul instrument, une chambre de Wilson, elle établit la vitesse V d’émission des quanta des particules alpha ainsi que celles des quanta de particules électroniques. Elle a donc élucidé la physique de la radioactivité naturelle dans son atelier que l’on pourrait comparer à un garage de startupers. Avec la formule E = 1/2mV² et à partir des éléments du « curie », il est possible de calculer l’énergie d’un objet massif de type étoile ou planète. A partir de ces éléments, l’Art mathématique a permis d’établir les relations E=M et M=E.

E (en eV) = M (en kg). M (en kg) = E (en eV). Si Marie Curie a établi l’énergie E de la Physique, l’Art mathématique m’a permis d’établir la masse M de la Physique.

La physique fondamentale de la science repose sur le concept de symétrie. Sur le principe de conservation !

Le Modèle Standard des Particules est, dit-on, dans la communauté scientifique, “The monument’’ de la science. C’est la (sacrosainte bible de la Physique moderne). On l’a intitulée « théorie de jauge » ou encore « théorie des invariances des interactions fondamentales ». Elle s’appuie sur l’axiome suivant : « Les lois de conservation les plus fondamentales en physique peuvent être considérées comme des conséquences de l’existence de symétries ».

Entre 1920 et 1930, Erwin Schrödinger et Werner Heisenberg développèrent la mécanique quantique. Il s’agit d’une théorie de l’infiniment petit dans laquelle les particules de matière interagissent entre elles par l’échange de petits paquets d’énergie appelés quanta. Ces nouvelles idées permirent de décrire l’électromagnétisme, mais aussi les deux forces nucléaires (forte et faible). Si ces trois interactions sont décrites par des théories très similaires, fondées sur l’échange de quanta, elles sont censées se distinguer par des symétries particulières. Le modèle standard est né du regroupement de ces trois théories avec cette introduction : « Les particules associées à chaque interaction sont distribuées dans des structures distinctes à l’intérieur desquelles elles peuvent être permutées selon un ordre particulier sans changer les équations. »

En physique des particules, la fonction suit la forme, à l’inverse de ce qui est censé être le cas en architecture. La structure de la théorie, imposée par l’invariance de jauge, dicte sa fonction, c’est-à-dire les interactions qu’elle décrit… Ainsi, l’interaction nucléaire forte est construite en imposant que les équations décrivant les quarks restent les mêmes quelle que soit la façon de définir leur « couleur ». L’interaction forte est véhiculée par huit particules, nommés gluons. Dans le cadre du Modèle Standard des Particules, les interactions faible et électromagnétique sont unifiées et constituent, ensemble, l’interaction électrofaible. L’existence de cette interaction découle de l’exigence que les équations décrivant les leptons restent invariantes quelle que soit la façon dont on définit la saveur leptonique (le type de lepton). Les bosons de jauge de l’interaction électrofaible sont au nombre de quatre : le photon (vecteur de l’interaction électromagnétique) et les bosons Z, W+ et W- (vecteurs de l’interaction faible).

La symétrie constitue-t-elle une vérité scientifique ? Le principe de conservation est-il vrai ?

Extraits de l’encyclopédie physique et spatiale. Annuaire 1976. Bureau des longitudes :

« L’énergie d’un photon peut se transformer en énergie de masse : par exemple, un photon peut donner naissance à deux électrons (l’un positif, l’autre négatif) de masse m, (à la condition que hv > 2 mc²). »

« Autre source de production d’énergie de masse : considérons par exemple le choc d’un proton en mouvement rapide, par conséquent très énergétique selon la terminologie courante, contre un autre proton, immobile celui-ci. D’une collision de cette espèce on voit souvent émerger, outre les protons initiaux, d’autres particules ayant des masses appréciables. Ce fait est prodigieusement instructif. En effet, à la vitesse près, les deux protons qui émergent se manifestent comme étant absolument identiques aux deux protons qui constituaient à eux seuls le système physique incident. Dans ces conditions, de la masse a nécessairement été créée, celle de toutes les autres particules, et par conséquent nous ne pouvons plus à la fois garder la masse comme mesure de la quantité et de continuer à dire que celle-ci est conservée. Mais outre, cet abandon du vieux principe de conservation de la matière, du principe de Lavoisier, n’est pas le seul que l’on doive faire. »

Cette expérience de l’énergie de masse consacre la non-conservation de la quantité de matière, la non conservation de la quantité d’énergie.

Cette expérience invalide le principe de conservation, et par conséquent le concept de symétrie.

La radioactivité naturelle de Marie Curie.

Le document RADIOACTIVITE ENERGIE NUCLEAIRE de Gaston Dupuy – Presses Universitaires de France (1975) fait état des travaux conduits par Marie Curie sur la physique de la radioactivé naturelle. La radioactivité naturelle est un phénomène spontané, non influençable par les divers agents physiques connus : température, pression, densité. Phénomène inopérant dans le vide. Plus largement, aucun phénomène physique n’interagit avec le vide ni au sein du vide.

Marie et Joliot Curie mirent en évidence qu’au cours des désintégrations radioactives, « les corps simples ne se conservent pas ». Ils se transforment lentement les uns dans les autres. C’est ainsi que l’uranium ordinaire, de poids atomique 238, transmute de moitié en 4 650 millions d’années en uranium de poids atomique 234 ; cet uranium 234 se change à son tour en 270 000 ans en ionium ; l’ionium en 83 000 ans en radium ; le radium en 1 590 ans en radon ; le radon en 4 jours en radium A, et ainsi de suite, jusqu’au dernier maillon de la chaîne qui serait le plomb.

Ces transformations chimiques en cascade, ou « transmutations » qui aboutissent à des éléments non seulement de natures, mais surtout de masses différentes, attestent que la quantité de matière ne se conserve pas. Donc la Masse (la matière) ne se conserve pas. Dans la mesure ou M=E, alors l’énergie, également, ne se conserve pas.

En conclusion, ces deux exemples contribuent à invalider le concept de symétrie, et donc le principe de conservation.

La symétrie ne constitue donc pas une vérité scientifique.

La conservation ne constitue donc pas une vérité scientifique.

L’invalidation du concept de symétrie et donc du principe de conservation invalide la théorie de jauge. L’invalidation de la théorie de jauge, consacre l’invalidation du modèle standard des particules. L’invalidation du modèle standard consacre l’invalidation de la totalité du spectre physique de la science.

C’est le cas de l’astrophysique, des théories, théorèmes généraux et équations de la Mécanique céleste, de la théorie des planètes, du théorème du mouvement de centre de gravité, du théorème du moment cinétique, de la loi de Newton, des équations du problème de N corps, du mouvement elliptique, des unités astronomiques dans le système solaire, du théorème de Jacobi, des équations canoniques, de la théorie de Delaunay, des variables de Delaunay, de la théorie de Lagrange, des équations de Lagrange.

C’est le cas des sciences SVT.

C’est le cas des objets et des phénomènes déduits des équations différentielles comme le boson de Higgs, le trou noir, la matière noire, l’énergie du vide… Le modèle Big Bang standard.

C’est cas de la notion de gaz à effets de serre, etc. etc.

Les théoriciens de la science avaient ambitionné de solutionner la théorie du tout en « fusionnant » les trois interactions décrites par la mécanique quantique. Ils n’y sont pas parvenus… Pourquoi ?

Le Modèle Standard des Particules stipule que les interactions faible et électromagnétique sont unifiées et constituent, ensemble, l’interaction électrofaible. Cette proposition est plausible. En effet, ce que la théorie de jauge intitule « force faible », c’est la radioactivité (la radioactivité naturelle de Marie Curie) et l’électromagnétisme c’est le rayonnement électromagnétique de Niels Bohr (le rayonnement thermo-électromagnétique de la Connaissancedt.

Effectivement, en Connaissance du Tout, ces deux entités physiques sont effectivement liées : la première est source du second.

Niels Bohr l’avait précisé ainsi : « De cette naissance du photon, de cette quantification de la lumière, il résulte que cette dernière apparaît, si l’on ose dire, sous un jour nouveau. Au lieu d’un simple rayonnement électromagnétique, elle se montre comme un phénomène énergétique quantifié se propageant par ondes. C’est la troisième étape dans la recherche de sa nature, en même temps qu’un large pas vers la connaissance de la matière. De ce dernier point de vue, il reste, entre autres problèmes, à se demander comment celle-ci produit celle-là. Car la lumière ne naît pas ex nihilo ; elle surgit nécessairement du sein de la matière ! »

La phénoménologie du Big Bang.

Max Planck a tenté d’établir les paramètres du Big Bang. S’il a parfaitement posé la problématique en définissant les grandeurs à l’œuvre, les dimensions exprimées sont irréelles. La faute aux équations différentielles. Cependant le niveau d’énergie préconisé laisse entrevoir le fait que l’évènement Big Bang découle de la survenance d’une étoile.

L’Art mathématique le confirme, et précise que la survenance de cet évènement procède du surgissement d’une étoile faramineuse qui a engendré quatre rétroactions positives, lesquelles ont conduit à l’avènement de l’Edifice Monde. Les évènements initiateurs d’ampleur sont qualifiés de rétroactions positives. Une rétroaction positive est un évènement déclenché sans retour en arrière possible. C’est un évènement qui prend de l’amplitude en permanence. La rétroactivité positive permet d’affirmer : « L’histoire n’a pas de marche arrière ». Le Big Bang ne finira jamais en Big Crunch.

Ce que l’Art mathématique postule par ailleurs, et la démonstration en sera faite, c’est que l’édification et le fonctionnement du monde se déduisent du fonctionnement de l’entité physique étoile.

Les équipes de la NASA, avec la sonde WMAP et celles de l’ESA, avec la sonde Planck, ont ramené des échantillons de données de mesures en Kelvin (K) qui, selon les physiciens de ces organismes, étaient destinées à démontrer la survenance de l’événement Big Bang.

Les données rapportées par les sondes constituent un échantillon. On peut assimiler cet échantillon de données aux fragments d’écritures bibliques de la mer morte. Ces relevés ne représentent, en effet, qu’une fraction infime des données existantes. Ce qui est normal, car ces données sont prélevées in situ, et ces sondes n’ont « exploré » qu’un très faible espace de la bulle Espace-Ciel.

Les échantillons collectés par la sonde WMAP de la NASA et ceux recueillis par la sonde Planck de l’ESA furent distribués aux instances académiques et personnalités ès-qualités de la Science

A réception de ces échantillons, de nombreux colloques et conférences se sont tenus, à l’issue desquels les instances et personnalités ont proposé des projections cartographiques de ces données, qui sur un ballon de foot, qui sur un ballon de rugby, sont censées constituer une représentation de l’univers.

Ci-dessous, l’image indéchiffrable, sans explications. Sans explications, car l’image, seule, ne parle pas. En matière d’investigation, cela revient à essayer de lire dans le marc de café. C’est une pratique divinatoire. Si l’image parlait, avec Hubble on aurait déjà tout compris du fonctionnement du monde stellaire. James web ne fera pas avancer cette compréhension, même avec une meilleure résolution d’image.

Si les résultats de traitements ne furent pas concluants et compréhensibles, il faut quand même retenir ce fait marquant : les données recueillies par les sondes WMAP et Planck sont d’une importance capitale.

En effet, la technologie qui a permis ces collectes, est une technologie fabuleuse. Cette technologie permet de pratiquer l’archéologie du vide. C’est un exploit du génie humain.

Les ingénieurs de la NASA et de l’ESA ont donc créé un outil d’exception dont ils ignorent la portée. Ils ont conceptualisé et réalisé un outil qui surpasse l’observation visuelle. On pourrait le qualifier de « lecteur du vide ». « Toute chose est une copie des nombres », avait énoncé Pythagore. Les ingénieurs de ces deux organismes spatiaux ont créé les outils qui lisent les nombres produits par la Nature. C’est-à-dire le « langage K » de Lord Kelvin. Pour conserver une unité de langage, nous qualifierons cet outil de « lecteur K ».

Qu’est-ce que ces deux sondes ont moissonné qui serait d’une importance capitale ?

Eh bien, des informations relevant de la propagation de sources émettant du rayonnement électromagnétique. Du rayonnement thermo-électromagnétique !

D’après la loi de Wien : « Tout corps, dès qu’il dépasse la température du zéro absolu, irradie des ondes électromagnétiques » … « Ce que le nouveau point de vue apporte c’est évidemment que les champs peuvent maintenant exister même en l’absence de tout « objet » capable de leur servir de source. Or c’est là précisément ce qu’on observe. Certes il est vrai qu’un champ électrique statique – pour prendre cet exemple – suppose l’existence en quelque endroit d’une charge électrique qui en soit la source et que la suppression de cette source entraîne la disparition du champ. Mais en revanche une onde électromagnétique – c’est-à-dire l’association de champs électriques et magnétiques périodiques dans le temps – peut subsister (comme chacun sait) même quand la source est supprimée ou est mise hors d’état d’émettre (c’est ainsi que nous recevons la lumière d’étoiles qui n’existent plus) ».

Recevoir la lumière d’étoiles qui n’existent plus, est faux. Les étoiles ne disparaissent pas. Elles ne meurent pas ! En fait, ce qu’il faut retenir de ce propos, c’est que le rayonnement électromagnétique se fossilise au fur et à mesure de sa propagation. Cette propagation se poursuivra indéfiniment et la fossilisation suivra. Le fait marquant est cette fossilisation s’imprime et s’affiche dans l’espace indéfiniment. Dans le « vide » ! Cela découle des propriétés intrinsèques du rayonnement électromagnétique (thermo-électromagnétique) qui ne nécessite pas de support pour se propager et qui dispose de la capacité de s’imprimer dans le vide, comme une rivière imprime son lit en s’écoulant. Comme un individu ou un animal laisse ses traces de pas ou de pattes sur la neige ou dans la boue à mesure qu’il avance. Et c’est la technologie qui permet de lire ces traces fossilisées du rayonnement thermo-électromagnétique, taguées dans le vide, que les ingénieurs de la NASA et de l’ESA ont su inventer. Sauf que là, il ne s’agit pas de traces ni d’images. Mais de nombres ! Les fameux nombres de Pythagore : « Les choses sont des nombres », avait-il proclamé.

L’Art mathématique m’a permis d’établir la nomenclature intégrale de ces données arithmétiques. De ces « nombres en K ». Ainsi, la Nature nous parle, ou plutôt elle nous écrit. Sa grammaire est la mathématique, le nombre. Son lexique est l’unité de température thermodynamique de Lord Kelvin : le Kelvin (K). Les échantillons transmis par les responsables des missions WMAP et Planck, sont effectivement des listes de valeurs exprimées en Kelvin (K). Pour ces responsables, ces échantillons proviennent du rayonnement de l’évènement Big Bang. C’est vrai. Mais pour partie seulement. En effet, ces relevés proviennent de 3 sources distinctes. Deux sources naturelles (une source rayonnement Big Bang et une source rayonnement de gravitation) et une troisième source dite-exogène.

Les données du rayonnement Big Bang (données de source 1) permettent de démontrer comment l’événement Big Bang s’est produit et s’est déroulé, de démontrer la physique de l’univers, de démontrer la physique du temps.

Les données de gravitation et plus exactement de rayonnement de champ de gravité (données de source 2) permettent de démontrer la physique de la gravitation et l’organisation de la dynamique de l’Edifice monde. Autrement dit, de décrire et de mesurer les phénomènes précis de la circulation des objets stellaires, de l’orbitologie, de l’orbitographie.

Les données de source 3) sont des données de sources exogènes. Elles ne figurent pas dans les nomenclatures réalisées avec le concours de l’Art mathématique. Ces données sont hors formats des données naturelles. Elles sont donc exogènes. Exogènes, car résultant des activités humaines ; émanant principalement des flottes de satellites et de sondes spatiales.

Ainsi Pythagore a eu raison de proposer qu’en matière de Connaissance « les choses sont des nombres ». L’Art mathématique a permis de répertorier ces nombres ainsi que l’unité d’expression de ces nombres, l’unité de température thermodynamique Kelvin (K). Les ingénieurs de l’ESA et de la NASA ont créé les outils qui lisent ces nombres figés, tagués dans le vide.

Si lord Kelvin a identifié le langage d’expression de la Nature, eux ont inventé, l’instrument de lecture. Ils ont inventé « le lecteur K ».

Avec ce lecteur K, il est permis d’affirmer qu’en matière de Connaissance, la boucle est bouclée. La Théorie du Tout est résolue. Cette résolution a donné la Connaissancedt. Cela veut dire que l’ère de la recherche scientifique est achevée. Et plus précisément l’ère de la recherche fondamentale.

Une nouvelle ère s’ouvre donc. Celle-ci sera beaucoup plus palpitante que celle de la recherche scientifique actuelle très consommatrice en finances, pour des résultats sans cesse reportés, en tout cas sans rapport aucun avec les fortunes investies. Cette nouvelle ère sera celle de la mise en application pratique des volets de cette Connaissancedt. Il s’agira d’imaginer des solutions, de concevoir des outils, de réaliser des ouvrages destinés à favoriser le bien vivre collectif et le mieux-être individuel.

Extraits des échantillons recueillis et distribués par l'ESA et par la NASA

Le traitement complet de ces données se produira par voie de conférence. En attendant, que peut-on en déduire rapidement ?

La sonde WMAP de la NASA a été lancée le 30 juin 2001, et a parcouru l’espace pendant 9 ans. La sonde Planck de l’ESA a été lancée le 14 mai 2009 et a parcouru l’espace pendant 4 ans. Les données relevées par les deux sondes successivement autour de Mars, Jupiter, Saturne, Uranus, Neptune sont identiques. Cela atteste que ces données ne sont pas dynamiques. Elles sont figées. Ce fait confirme la définition du rayonnement-électromagnétique de la Connaissancedt et la certitude que l’évènement Big Bang a bien eu lieu. Lors de la prochaine et première conférence, il y aura une démonstration du fonctionnement du rayonnement thermo-électromagnétique et les explications détaillées relatives à chacune des  planètes concernées.

Concomitamment, chacun de ces nombres (K) exprime aussi une séquence de temps en années.

 La somme de ces séquences de temps donne l’âge exact de l’univers. L’âge de l’Edifice Monde. Chacun de ces nombres donne aussi, pour un objet stellaire quelconque, l’année de son émergence après Big Bang ainsi que son âge précis en années.

La somme de ces séquences donne l’Arborescence des Temps HistoSpatioGéologiques.

L’Arborescence des temps HistoSpatioGéologiques. C’est le déploiement du temps depuis l’évènement Big Bang sur le véhicule rayonnement thermo-électromagnétique, qui absorbe l’échelle des temps géologiques, et les données évènementielles successives (la totalité des chapitres historiques séquentiels) qui ont conduit à façonner l’Edifice Monde tel que nous le percevons et le vivons aujourd’hui. Mais également à déployer la Vie, les espèces, de manière contextuelle (évolutions du monde, de la Terre).

Le deuxième type de données naturelles, est une donnée de gravitation. Chacun de ces nombres est associé à une étoile ou une planète. Les étoiles et les planètes sont donc affublées de deux nombres (K), un du premier type qui les situent dans l’espace et dans le temps (dans l’espace géographique, et l’instant de leur émergence et leur âge exact en années) et l’autre, un nombre (K) de type 2 qui donne la mesure, avec la précision en millimètre, du demi grand axe A de l’étoile ou de la planète. Cette donnée permet de calculer la masse de l’objet ainsi que ses paramètres et dimensions, physiques et dynamiques.

Evidement ces valeurs sont distribuées dans toutes les directions, puisque les objets stellaires étoiles et planètes sont présents partout. Effectivement, les étoiles et les planètes sont au sein du vide espace-ciel, en orbites géostationnaires, distantes les unes des autres, organisées suivant la mécanique de la gravitation duale. Elles se comportent comme les molécules d’un gaz parfait dont la propriété première est d’occuper tout l’espace qui lui est proposé.

Autre apport extraordinaire de ce lecteur du vide NASA/ESA », c’est la possibilité d’explorer le monde et les « choses » de l’intérieur. Imaginons le télescope James Webb doté d’un tel outil. Imaginons les télescopes terrestres équipés de ce lecteur K. Au lieu des images ininterprétables, il nous livrerait, en lecture directe, le livre du monde. Démontrant ainsi la justesse de la proposition de Galilée : « La philosophie (la connaissance) est écrite dans le vaste livre qui, constamment, se tient ouvert devant nos yeux – je veux dire l’univers. »

Imaginez l’échographie d’un être vivant. Au lieu d’une imagerie difficilement interprétable, il nous donnerait lecture directe de la carte des températures internes et leur localisation au niveau des organes.

Imaginez que depuis les satellites d’observation géodésique, on puisse visualiser les failles en formation qui préfigurent les séismes. Imaginez, imaginez…

Quelle est l’origine de l’Edifice Monde ?

Platon a formulé cette question ainsi : « Quelle est l’origine de toutes les origines ? »

Jean-Claude ALLAMELLE – Afin de répondre à ces deux formulations, il convient de résoudre cette double interrogation ? Le monde existe-t-il depuis toujours ? Ou bien est-il né ? A-t-il commencé ? L’évènement Big Bang apporte une réponse absolue à cette double interrogation. L’évènement Big Bang stipule un commencement, donc une naissance. Ce qui veut dire que notre monde résulte d’un acte de création. Qui en est l’auteur ?

Les esprits croyants parleront de création divine. Les esprits se disant cartésiens parlerons de hasard, les esprits athées questionneront : « Si c’est Dieu, qui a créé Dieu ? »

A cette triple interpellation, l’Art mathématique répond :  à la première, qu’il s’agit du miracle initial ; à la seconde, que le hasard n’est pas créateur et le hasard ne s’applique pas à une unité, le hasard est une loterie, il s’appliquera aux vivants, nous verrons comment ; et à la troisième, que Celui qui a pu créer ce monde exceptionnel détient assurément la capacité de s’auto-engendrer.

En permettant la résolution de la théorie du Tout, l’Art Mathématique a contribué à mettre au jour la vérité scientifique de la physique. Je l’ai intitulé « Nouvelle physique » dont la liste des entités suit.

L’entité physique Gravitation. L’entité physique Espace-Ciel. L’entité physique Matière. L’entité physique Proton. L’entité physique Electron. L’entité physique Molécule. L’entité physique Radioactivité naturelle. L’entité physique Rayonnement thermo-électromagnétique. L’entité physique Etoile. L’entité physique Soleil. L’entité physique Univers. L’entité physique Temps. L’entité physique Planète. L’entité physique Terre. L’entité physique Galaxie. L’entité physique Espèce. L’entité physique Vivant. L’entité physique Homme. L’entité physique Climat. L’entité physique Eau. L’entité physique Atmosphère. L’entité physique Continents et Reliefs. L’entité physique Pluie. L’entité physique Ouragan… etc.

Au chapitre des lois fondamentales de la nouvelle physique, citons celle-ci : « La durée est la seule grandeur qui obéisse au principe de symétrie. En physique, la durée se conserve ». Cette conservation s'applique à l'Astronomie et à la Géologie.

Autres entités physiques du type miracles humains.

Dans le domaine de la Biologie, le fonctionnement du corps animal ou humain n’est pas du ressort de la Génétique. Ce fonctionnement est du ressort de la Mécanique.

Traitement physiologique de prolongation de la durée de Vie individuelle à partir de culture et production de plasma placentaire.

Traitement des cellules cancéreuses et des maladies infectieuses par dialyse du sang.

Dans le domaine de l’industrie :

Usine produisant de la foudre, de l’eau et de l’hydrogène (Electricité, H2O, H).

Usine à four d’anatexie produisant des minerais à la demande. L’eau est un minerai.

L’échelle capacitaire ou indice de production de la Nature est de 1 000 000 (un million). Comparativement, l’échelle capacitaire ou indice de production de la communauté humaine, compte tenu de notre potentiel technique et technologique est de 1 (un).

Nous pouvons imiter la Nature, mais nous n’avons pas la capacité de la concurrencer, et encore moins de la contrer. Penser que l’on puisse contrer la métamorphose du climat relève de la plaisanterie. Penser qu’une guerre nucléaire puisse conduire à la désagrégation de la planète relève également de la plaisanterie. Ce ne sont que prophéties de chamanes !

En cas de guerre nucléaire.

Si une guerre nucléaire survient, le pays déclencheur subira des effets de type Hiroshima de plus grande ampleur, sur de plus vastes périmètres. Surtout si le pays déclencheur menaçant ne dispose pas de moyens fiables d’interception de missiles, ce qui est le cas, actuellement. Il y aura des populations « génocidées », des infrastructures et des villes rasées. Mais aucun effet irréversible sur la Nature, ni pour la population qui se reconstituera.

Il faudrait 9 960 000 impacts de bombes Hiroshima pour cribler l’ensemble des terres émergées d’impacts du type Hiroshima. Le stock total des pays détenteurs est seulement de 11 833. Quand bien même toutes ces bombes des arsenaux exploseraient de conserve, il y aurait moulte impacts locaux, mais dont l’effet sur la planète serait celui d’une nuée de bourdons asiatiques sur le cuir plâtré de boue d’un éléphant mâle solitaire.

Les pays visés qui sont très bien pourvus en moyens d’interception, pourront faire exploser les missiles en vol. Ces explosions en altitude ne provoqueront pas d’impact de type Hiroshima. Justes des effets de souffle en fonction de l’altitude, et puis, le champignon d’hydrogène résultant de l’explosion s’évanouira dans l’espace, sans aucune conséquence pour la Nature.

Sans compter qu’en raison des distorsions de distances, engendrées par les SIG, la plupart de ces bombes guidées par GPS finiront à la baille.

Effectivement pour qu’une bombe nucléaire ait un impact mortifère pour la Terre, elle devrait détenir la puissance d’un volcan. C’est-à-dire un engin qui serait à même d’engendrer des ruptures de la croûte terrestre et occasionner des séismes destructeurs.  Pour atteindre ces résultats ces engins de malheur devrait engendrer des cratères de 30 km de profondeurs. Même des engins facteur X de la bombe de Hiroshima, n’occasionneront que des « égratignures » du sol terrestre.

Explosion au sol - Impact de type Hiroshima - Menace du pays déclencheur

Explosion en atmosphère - Absence de menace des pays visés

Enseignements et démonstrations de la Connaissance du Tout.

Platon est l’être humain qui a compris et théorisé le processus d’élaboration de la Connaissance du Monde. Il a prédit qu’avec la mathématique et sans recourir à l’expérimentation, il serait possible de dévoiler les arcanes de l’univers, et ce faisant, d’obtenir la complétude de la Connaissance. Atteindre la complétude de la Connaissance, c’est atteindre l’omniscience ! C’est fou. Cela a été rendu possible avec l’invention de l’Art mathématique par Jean-Claude ALLAMELLE, avec la révélation du rayonnement électromagnétique par Niels Bohr, avec la révélation de la radioactivité naturelle par Marie Curie, avec la révélation de la gravitation duale par Jean-Claude ALLAMELLE, avec la réalisation du lecteur K par les ingénieux techniciens de la NASA et de l’ESA, avec les abaques intelligents des non moins ingénieux startuppers qui ont mis au point les tableurs Excel de Office 365, ou Calc de la suite Libre Office. Effectivement, les équations, algorithmes et autres fonctions de l’Art mathématique s’expriment à partir du clavier des tableurs Excel ou Calc.

Ces outils sont des bouliers chinois intelligents. C’est dans la structure technologique de ces instruments que réside une intelligence potentielle. En fait, le terme intelligence artificielle qui est attribué à un moteur de base de données est impropre. L’IA n’est pas créateur, c’est un outil de synthèse brillant et rapide… qui se plante parfois.

En dotant un tableur des fonctions et algorithmes de l’Art Mathématique, on peut créer une véritable intelligence créatrice. Mais là ; il ne s’agira pas d’une intelligence artificielle (IA). A ce moment-là, il s’agira d’intelligence du réel. On parlera d’Intelligence mathématique. On parlera de I-math. CQADSG produira cet outil qui sera intitulé : Tableur I-math.

L’enseignement de la Connaissancedt portera sur l’édification, l’organisation, le fonctionnement et l’histoire de l’Edifice monde depuis le Big Bang jusqu’à un futur indéterminé. Avec l’Art mathématique, Il n’y a pas de limites d’horizon à la prospective.

A partir des simulations effectuées aux claviers d’ordinateurs dotés de ces tableurs (abaques intelligents), je procèderai au décryptage analytique des fichiers de données obtenues. Les explications des résultats de traitement constituant les enseignements et les démonstrations de la Connaissancedt.

Depuis le réseaux social « Quinternaire Edifice Monde », ces enseignements seront dispensés par voie de conférences vidéo, dans un premier temps.

Puis, plus tard, en présentiel, dans les bâtiments de la future Citée Quinternaire. Une réplique moderne de la Bibliothèque d’Alexandrie. Un bâtiment sphère de 10 000 m² de plancher et de 500 m de hauteur de plafond. Fondations en blocs de granite. Les espaces de circulation et abords en plaque de granite de forte épaisseur. Je fais appelle aux architectes pour proposer leurs solutions.

L’histoire de l’Edifice monde est à la fois scientifique et religieuse. Religieuse aussi, parce perlée d’interventions divines.

Ainsi, à cette question de Platon : « Comment et pourquoi ce microcosme bouffi de vanité avait-il pu transcender son animalité première au point d’être parvenu à se hisser au sommet de la pyramide de la Vie, au cœur du macrocosme Univers ? »

La réponse de l’Art mathématique est la suivante : « L’homme n’a pas toujours eu l’usage du parler. Il n’a pas toujours eu l’usage de la parole. La parole n’est pas d’origine génétique. Si cela était, le nourrisson réclamerait sa tété non pas en criant, mais en parlant. Si cela était, tous les humains parleraient une langue universelle.

Il en est de même s’agissant de l’écriture. Si la faculté d’écrire était génétique, le bébé saurait écrire et lire dès qu’il tiendrait debout.

Ainsi, l’homme a pu transcender son animalité à l’instant où il reçut l’usage du Verbe. Ce jour-là, l’homo prit qualité « d’humain ». Ce jour-là, il prît « conscience ».  Ce jour-là, il acquît la faculté de « penser ». Ce jour-là, il devint intelligent. Ce jour-là, l’homo devint « sapiens ».

Cet épisode intitulé « Le jour de la grande clameur ! » sera relaté dans la longue histoire à venir.

Quelques temps après, la première action de ce groupe homo-humanisé fut d’éliminer le groupe pouvant se révéler concurrent, le groupe des néandertaliens. Ce massacre intégral fut le premier génocide de l’histoire humaine.

L’histoire de l’Edifice monde sera déclinée en une centaine de films contextualisés : ou, quand, comment, pourquoi. Lieu, chronologie temporelle, environnement naturel, stade d’évolution ; etc.

Ces films seront diffusés dans les locaux dédiés de la Future Citée Quinternaire. Et aussi sur le réseau Quinternaire

La langue d’expression, d’enseignement et de diffusion de la Connaissancedt sera le Français. Pourquoi ?

Premièrement, cette Connaissancedt a été pensée, créée en Français. Deuxièmement, il s’agit de se démarquer de l’écosystème science qui s’exprime en Anglais. Troisièmement la Connaissance est née de l’écriture. L’histoire de la Connaissance, c’est l’histoire de l’écriture. La grammaire du français est quasi-mathématique ; elle est précise. Un mot n’a pas de multiples significations.

Comment Dieu voit-il l’Edifice Monde ?

Ci-dessous la vue en coupe de l’Edifice Monde depuis un regard extérieur. Ce que le créateur voit de l’Edifice Monde… depuis son Monde ?

Jean-Claude ALLAMELLE - Théoricien Autodidacte. Créateur du logiciel encyclopédique Erudite Life, de l'Art Mathématique, du concept Edifice Monde, de la Connaissance du Tout, de l'I-math (l'intelligence mathématique). Créateur du réseau social Connaissancedt. Créateur et Président de Quinternaire CQADSG.

Réseau social Connaissancedt

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