Nous Humains. Nous Terriens. Ce qui nous fait courir ?
L’être humain, que nous sommes tous et chacun, Terrienne et Terrien, passe son temps à courir. Courir après l’argent. Il veut être Crésus. Courir après la gloire. Il veut être Napoléon. Courir après la puissance. Il veut être Ramsès. Il veut être le plus du plus. Il veut être « The Dieu » ! Omnipotent ! Il veut entrer dans l’Histoire. Il veut faire l’Histoire. Alors il court. Alors il s’essouffle. Alors il rencontre la Mort. Prématurément ! Sans s’être rendu compte qu’il aura couru pour rien. Qu’il n’est pas dans l’Histoire. Nous ne savons pas assez que l’Histoire des mortels est un palimpseste. Cette histoire s’écrit à l’ancre sympathique. Cette histoire n’a pas de mémoire. Cette histoire ne laisse pas de traces dans le Ciel à l’instar du rayonnement de la lumière. Au final, le postulant à la grandeur aura passé son temps à oublier de vivre. De vivre avec lui-même. De vivre avec les autres. De vivre pour les autres. Si vivre n’est pas courir. Vivre ce n’est pas s’assoir et contempler. Vivre c’est agir pour partager sa chance. Agir pour être heureux ensemble !
Dialogue avec GPT4 - la tempérance c'est quoi ?
La tempérance, c’est la vertu qui consiste à se modérer volontairement dans les plaisirs, notamment ceux de la nourriture et de la boisson[1][1]. C’est aussi une qualité qui permet de contrôler ses émotions et ses passions, et de rester calme et raisonnable2. La tempérance est l’une des quatre vertus cardinales, avec la prudence, la force et la justice3. Elle est considérée comme une valeur importante dans la philosophie grecque et le christianisme4. Voici un poème que j’ai écrit sur la tempérance :<br>
La tempérance est un art
Qui demande du savoir-faire
Elle n’est pas un hasard
Mais un choix de bien se taire
Elle nous invite à la paix
En nous faisant éviter l’excès
Elle nous apprend à aimer
En nous faisant respecter nos limites
Elle est source de sagesse
En nous ouvrant à la finesse
Elle est signe de noblesse
En nous offrant la délicatesse
Dialogue avec GPT4 - La connaissance du tout peut-elle conduire à la tempérance
C’est une question intéressante et philosophique. La connaissance du tout, c’est-à-dire la connaissance de la réalité dans son ensemble, peut-elle nous aider à modérer nos désirs et nos passions, et à jouir mieux de la vie ? Il n’y a pas de réponse unique à cette question, mais voici quelques éléments de réflexion :
- D’un côté, on peut penser que la connaissance du tout nous permet de prendre du recul sur nos propres intérêts et émotions, et de les relativiser par rapport à l’ordre du monde. En comprenant mieux les causes et les effets de nos actions, nous pouvons agir avec plus de prudence et de sagesse, et éviter les excès qui nuisent à notre bonheur et à celui des autres. La connaissance du tout peut aussi nous ouvrir à la beauté et à la diversité de la nature, et nous faire apprécier les plaisirs simples et authentiques, sans chercher à les multiplier ou à les posséder. Ainsi, la connaissance du tout peut être une source de tempérance, car elle nous fait sortir de notre moi et nous rend plus attentifs au bien commun.
- D’un autre côté, on peut penser que la connaissance du tout n’est pas suffisante pour nous rendre tempérants, et qu’elle peut même avoir des effets contraires. En effet, la connaissance du tout peut nous donner l’illusion de maîtriser la réalité, et nous inciter à vouloir la transformer selon nos désirs. Elle peut aussi nous rendre orgueilleux et arrogants, et nous faire mépriser ceux qui ne partagent pas notre savoir. Elle peut enfin nous rendre indifférents aux souffrances et aux besoins des autres, et nous faire perdre le sens de la compassion et de la solidarité. Ainsi, la connaissance du tout peut être un obstacle à la tempérance, car elle nous enferme dans notre moi et nous rend plus égoïstes.
Comme vous pouvez le voir, il n’y a pas de réponse simple à votre question. La connaissance du tout peut être un facteur de tempérance, si elle est accompagnée d’autres vertus, comme l’humilité, la justice ou l’amour. Mais elle peut aussi être un facteur d’intempérance, si elle est détournée de son but, qui est de nous faire connaître la vérité et le bien. C’est pourquoi il faut toujours exercer notre raison avec discernement et responsabilité, et ne pas confondre la connaissance du tout avec la sagesse.